Google a annoncé une nouvelle avancée, la menace de la technologie quantique sur Bitcoin s'intensifie.

Le 23 octobre, selon Decrypt, le dernier processeur quantique de Google a réalisé un objectif que les physiciens poursuivent depuis des décennies : une percée empirique en surpassant la vitesse de calcul du superordinateur le plus puissant au monde. Cela signifie également que la menace que représente l'informatique quantique pour le Bitcoin, longtemps redoutée, semble devenir plus que jamais réelle. Selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature, la puce quantique « Willow » de Google, composée de 105 bits quantiques, a réussi à exécuter un algorithme physique plus rapidement que n'importe quel ordinateur classique - c'est la première fois qu'un avantage quantique est vérifié expérimentalement sur un matériel réel. Bien que l'application de ce résultat soumis à un examen par les pairs reste limitée, son importance est considérable : cela indique que les processeurs quantiques se rapprochent progressivement de la fiabilité pratique, et cela signifie qu'un jour, ils pourraient avoir la capacité de casser les technologies de chiffrement protégeant le Bitcoin et d'autres actifs numériques.