#特朗普撤销农业产品关税 La défaite continue des élections d'octobre, le silence de Trump cette fois n'est pas de la sérénité, mais de la peur de dire quelque chose qui aggraverait les choses.
Le marché boursier américain a corrigé pendant deux semaines, et auparavant, il aurait déjà sorti son arsenal pour critiquer la Réserve fédérale. Maintenant, il fait le sourd de manière anormale ? La réponse est simple : sa crise politique actuelle est de loin plus grave que la volatilité du marché. Son taux de soutien a continué de descendre depuis octobre, avec plusieurs pertes consécutives lors d'élections clés, son compte politique est presque à sec, alors comment pourrait-il se soucier des fluctuations du marché boursier ?
Ce qui est encore plus mortel, c'est la direction de l'opinion publique. Ce que les électeurs détestent le plus en ce moment, c'est la montée incontrôlée du coût de la vie, avec des données sur l'inflation qui sont très frappantes. À ce moment crucial, s'il sort et crie à la baisse des taux et à l'assouplissement monétaire ? Ce serait comme donner un couteau à son adversaire, en attendant d'être étiqueté "indifférent aux conditions de vie des citoyens". Il comprend bien ce coût politique et choisit naturellement de garder le silence.
De plus, étant donné qu'il s'agit actuellement d'une période de vide de données, personne n'ose tirer de conclusions sur l'évolution de l'inflation, même la Réserve fédérale est en attente, il n'a donc aucune raison de se précipiter pour s'exprimer et se créer des problèmes.
Mais ne vous méprenez pas, il n'est pas vraiment inactif - intensifier les actions en faveur du Venezuela, annoncer l'exemption des droits de douane sur les aliments, et lancer le programme de chèques de dividende douanier, tout cela vise à augmenter son taux de soutien. Pour lui, la performance du marché boursier est un indicateur secondaire, le taux de soutien est sa ligne de vie.
Attendez que les données PCE d'octobre et le rapport CPI de novembre soient publiés. Si l'inflation baisse, il n'hésitera pas à agir immédiatement ; si elle continue à augmenter, il continuera à jouer le rôle de "personne prudente".
Mon jugement est très direct : ce silence n'est pas dû à un changement de caractère, mais à une stratégie de survie imposée par la réalité. L'avenir politique est cent fois plus important que l'humeur du marché, ouvrir la bouche pourrait faire perdre des voix, il vaut mieux d'abord préserver la base. Quant à savoir si le marché va baisser ou non ? Tant que le taux de soutien reste stable, tout le reste n'est que broutille.
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0xLuckbox
· 11-19 08:55
En d'autres termes, la vie politique est suspendue, il n'y a plus de cœur à faire ce genre de marché. Le taux de soutien est vraiment la clé de la survie.
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StakeOrRegret
· 11-19 08:54
En d'autres termes, la ligne de vie politique est sur le point de se rompre, alors qui oserait faire des commentaires imprudents ? À chaque mot, c'est un point de moins.
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ChainProspector
· 11-19 08:43
En d'autres termes, les intérêts politiques priment, que vaut le marché boursier ? Le taux de soutien est la véritable priorité.
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DaisyUnicorn
· 11-19 08:32
Eh bien, n'est-ce pas la logique de gouvernance on-chain de "d'abord protéger la base, ensuite on verra" ? Le compte politique qui touche le fond et la liquidité urgente dans le portefeuille, c'est la même chose... on est tous contraints de réduire notre portée d'activité, attendant que la fenêtre des données s'ouvre pour oser redéployer. C'est un peu comme regarder son risque de liquidation se rapprocher pas à pas 🌼
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DegenWhisperer
· 11-19 08:30
En d'autres termes, la ligne de vie politique est presque épuisée, on n'a plus le temps de prendre les gens pour des idiots haha
#特朗普撤销农业产品关税 La défaite continue des élections d'octobre, le silence de Trump cette fois n'est pas de la sérénité, mais de la peur de dire quelque chose qui aggraverait les choses.
Le marché boursier américain a corrigé pendant deux semaines, et auparavant, il aurait déjà sorti son arsenal pour critiquer la Réserve fédérale. Maintenant, il fait le sourd de manière anormale ? La réponse est simple : sa crise politique actuelle est de loin plus grave que la volatilité du marché. Son taux de soutien a continué de descendre depuis octobre, avec plusieurs pertes consécutives lors d'élections clés, son compte politique est presque à sec, alors comment pourrait-il se soucier des fluctuations du marché boursier ?
Ce qui est encore plus mortel, c'est la direction de l'opinion publique. Ce que les électeurs détestent le plus en ce moment, c'est la montée incontrôlée du coût de la vie, avec des données sur l'inflation qui sont très frappantes. À ce moment crucial, s'il sort et crie à la baisse des taux et à l'assouplissement monétaire ? Ce serait comme donner un couteau à son adversaire, en attendant d'être étiqueté "indifférent aux conditions de vie des citoyens". Il comprend bien ce coût politique et choisit naturellement de garder le silence.
De plus, étant donné qu'il s'agit actuellement d'une période de vide de données, personne n'ose tirer de conclusions sur l'évolution de l'inflation, même la Réserve fédérale est en attente, il n'a donc aucune raison de se précipiter pour s'exprimer et se créer des problèmes.
Mais ne vous méprenez pas, il n'est pas vraiment inactif - intensifier les actions en faveur du Venezuela, annoncer l'exemption des droits de douane sur les aliments, et lancer le programme de chèques de dividende douanier, tout cela vise à augmenter son taux de soutien. Pour lui, la performance du marché boursier est un indicateur secondaire, le taux de soutien est sa ligne de vie.
Attendez que les données PCE d'octobre et le rapport CPI de novembre soient publiés. Si l'inflation baisse, il n'hésitera pas à agir immédiatement ; si elle continue à augmenter, il continuera à jouer le rôle de "personne prudente".
Mon jugement est très direct : ce silence n'est pas dû à un changement de caractère, mais à une stratégie de survie imposée par la réalité. L'avenir politique est cent fois plus important que l'humeur du marché, ouvrir la bouche pourrait faire perdre des voix, il vaut mieux d'abord préserver la base. Quant à savoir si le marché va baisser ou non ? Tant que le taux de soutien reste stable, tout le reste n'est que broutille.