Les réglementations de Bâle III ont-elles réellement détruit le prêt de titres ? Pas vraiment — elles l'ont simplement rendu trop coûteux pour que les banques traditionnelles restent dans la course.
Le secteur ne disparaît pas. Il se déplace.
Où ça ? Vers des infrastructures transparentes, on-chain, et d'une efficacité capitalistique redoutable. C'est la seule base capable de gérer cette migration à grande échelle. Certains projets se positionnent déjà précisément sur cette faille structurelle.
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LostBetweenChains
· Il y a 12h
Les banques se retrouvent étranglées, la véritable issue se trouve sur la blockchain.
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Soit elles sont mortes, soit elles ont déménagé, elles sont parties sur la blockchain.
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Le blocage des banques traditionnelles a finalement donné naissance à une nouvelle génération de poids lourds sur la blockchain.
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Attendez, donc tous ces projets qui occupaient une place sont-ils sur le point de décoller maintenant ?
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Au fond, il s'agit toujours de la recherche du profit par le capital, il va là où c'est le moins cher.
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Ce raisonnement est juste : dès que la pression réglementaire augmente, les opportunités sur la blockchain apparaissent.
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C'est facile à dire, mais combien de solutions réellement efficaces sur la blockchain existent-elles vraiment ?
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Migration ≠ sécurité, il faut encore voir s'il y a de véritables applications concrètes.
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Encore ce fameux "manque structurel", j'en ai assez d'entendre cette rengaine.
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UnluckyMiner
· Il y a 13h
Ah, la finance traditionnelle s’est fait piéger par ses propres règles.
C’est vraiment on-chain qui est le plus avantageux, attendons de voir qui profitera de cette vague de dividendes.
Les accords de Bâle poussent les banques à l’asphyxie, et ça joue finalement en notre faveur.
Vraiment, la migration a déjà commencé, ceux qui ratent le coche vont le regretter.
C’est pour ça que j’ai tout misé sur l’infrastructure on-chain.
Les réglementations de Bâle III ont-elles réellement détruit le prêt de titres ? Pas vraiment — elles l'ont simplement rendu trop coûteux pour que les banques traditionnelles restent dans la course.
Le secteur ne disparaît pas. Il se déplace.
Où ça ? Vers des infrastructures transparentes, on-chain, et d'une efficacité capitalistique redoutable. C'est la seule base capable de gérer cette migration à grande échelle. Certains projets se positionnent déjà précisément sur cette faille structurelle.