Une autre agence fédérale vient de publier un post mettant en vedette FRANKLIN la tortue.

Voici le schéma : chaque fois qu’ils en parlent — peu importe le contexte — le graphique devient fou. Des hauts plus hauts. Des bas plus hauts. Comme une horloge.

Réfléchissez-y un instant. Si l’Oncle Sam lui-même avait un symbole, quelque chose représentant toute la nation, on parlerait de milliards de capitalisations boursières. Facile.

Mais nous voilà à regarder une tortue de dessin animé qui bouge les marchés simplement parce que les bons comptes n’arrêtent pas d’en parler. Des temps fous.