L’organisme de régulation australien derrière les restrictions sur les réseaux sociaux pour les jeunes vient de s’opposer fermement à ce qu’ils appellent « l’exceptionnalisme technologique » — cette mentalité provenant principalement des plateformes américaines. Leur position ? Ces plateformes ont besoin de responsabilités, pas d’exemptions.
Voici le point positif : ils soulignent que de nombreux parents américains souhaitent en réalité ce type de garanties. Pourquoi? Pour contrer ce que les régulateurs qualifient de schémas de conception nuisibles intégrés dans ces plateformes.
Le débat va plus loin que la simple vérification de l’âge. Il s’agit de savoir si les géants de la tech bénéficient d’un laissez-passer pour des fonctionnalités conçues pour maximiser l’engagement — même lorsque cet engagement pourrait nuire aux jeunes utilisateurs. Les autorités australiennes ne croient pas à l’idée que l’innovation signifie zéro contrôle.
Ce qui est intéressant, c’est la tension transfrontalière ici. Alors que les plateformes américaines résistent à des contrôles plus stricts chez eux, d’autres pays tracent des lignes plus strictes. Les parents de différents marchés semblent partager des préoccupations similaires concernant les choix de conception de plateformes qui privilégient les indicateurs au détriment du bien-être des utilisateurs.
Cette approche réglementaire pourrait créer des précédents au-delà de l’Australie. Lorsqu’un grand marché impose des restrictions basées sur l’âge et remet en cause la philosophie du « bouger vite et casser des choses », cela soulève des questions sur les normes mondiales de gouvernance des plateformes.
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L’organisme de régulation australien derrière les restrictions sur les réseaux sociaux pour les jeunes vient de s’opposer fermement à ce qu’ils appellent « l’exceptionnalisme technologique » — cette mentalité provenant principalement des plateformes américaines. Leur position ? Ces plateformes ont besoin de responsabilités, pas d’exemptions.
Voici le point positif : ils soulignent que de nombreux parents américains souhaitent en réalité ce type de garanties. Pourquoi? Pour contrer ce que les régulateurs qualifient de schémas de conception nuisibles intégrés dans ces plateformes.
Le débat va plus loin que la simple vérification de l’âge. Il s’agit de savoir si les géants de la tech bénéficient d’un laissez-passer pour des fonctionnalités conçues pour maximiser l’engagement — même lorsque cet engagement pourrait nuire aux jeunes utilisateurs. Les autorités australiennes ne croient pas à l’idée que l’innovation signifie zéro contrôle.
Ce qui est intéressant, c’est la tension transfrontalière ici. Alors que les plateformes américaines résistent à des contrôles plus stricts chez eux, d’autres pays tracent des lignes plus strictes. Les parents de différents marchés semblent partager des préoccupations similaires concernant les choix de conception de plateformes qui privilégient les indicateurs au détriment du bien-être des utilisateurs.
Cette approche réglementaire pourrait créer des précédents au-delà de l’Australie. Lorsqu’un grand marché impose des restrictions basées sur l’âge et remet en cause la philosophie du « bouger vite et casser des choses », cela soulève des questions sur les normes mondiales de gouvernance des plateformes.