Je viens de voir une donnée sur la chaîne : SpaceX a transféré près de 95 millions de dollars en Bitcoin. Au premier abord, cela ressemble à une opération classique, mais en y réfléchissant bien, cette situation peut en fait en dire beaucoup sur le sujet — de grands capitaux et des agents IA deviennent les principaux acteurs sur la chaîne, et l'infrastructure blockchain actuelle ? Honnêtement, elle ressemble un peu à une voie rapide en heure de pointe, incapable de supporter ces demandes à haute fréquence et précises de ces "machines".

Pensez aux innovations DeFi précédentes, comme la preuve à divulgation zéro de Brevis, ou le modèle de collatéral universel de Falcon. Quelles en sont les solutions ? Rendre la circulation de la valeur plus rapide et privée, réduire le coût des calculs complexes, et permettre à vos actifs en garantie de continuer à générer des revenus. Tout cela est très bien.

Mais le problème, c’est que lorsque les agents IA veulent gérer leur propre stratégie d’investissement — payer automatiquement les frais de données chaque jour, ajuster les API, collaborer avec d’autres IA — ils se heurtent à un mur : les frais de Gas, qui fluctuent énormément, rendent toute prévision impossible, la gestion des permissions est aussi grossière qu’avec une hache, et le coût des micro-paiements est exorbitant. C’est ce qu’on appelle l’"enfer du règlement".

Donc, vous voyez, le marché commence à voir apparaître des réseaux spécialement conçus pour l’économie des machines. Leur objectif peut se résumer à "construire une autoroute à grande vitesse pour l’IA, avec un système de tarification intelligent". Ils cherchent à résoudre trois points douloureux : premièrement, la stabilité des factures — utiliser des stablecoins pour la règlementation, pour que l’IA puisse calculer précisément ses coûts ; deuxièmement, une gestion des permissions fine — attribuer à chaque IA un sous-portefeuille contrôlé, pour éviter les dépenses imprudentes ; troisièmement, optimiser les micro-paiements — via des techniques comme les canaux de paiement, afin de réduire au maximum le coût de chaque opération fragmentée.