Le marché immobilier de décembre a enfin livré quelque chose que nous n'avions pas vu depuis près de trois ans. La demande a explosé à des niveaux qui auraient semblé impossibles il y a seulement quelques mois, et le catalyseur ? Des taux hypothécaires maintenus stables dans cette zone favorable.
Pendant 18 semaines consécutives, les taux sont restés en dessous du seuil de 6,64 %. Ce n'est pas un simple chiffre aléatoire — c'est le point de bascule où les acheteurs se sentent réellement à l'aise pour passer à l'action. Et ils ont effectivement agi. La croissance annuelle a atteint des chiffres à deux chiffres, ce qui indique un élan qui montre que de l'argent réel revient dans l'immobilier.
Ce qui motive cela n'est pas de la science-fiction. Lorsque les coûts d'emprunt se stabilisent en dessous de barrières psychologiques, la demande ne se contente pas de se redresser — elle s'accélère. Les acheteurs qui avaient hésité en attendant « le bon moment » ont soudainement réalisé que ce moment était arrivé. Les améliorations des écarts ont rendu le financement non seulement possible, mais aussi réellement attractif à nouveau.
Ce n'est pas une simple hausse mineure dont nous parlons. Près de trois ans d'attente, de surveillance et d'hésitation ont tout simplement disparu. La machine immobilière, qui s'essoufflait et piétinait, a retrouvé son rythme. Les stocks qui stagnaient ont commencé à bouger. Les offres ont commencé à affluer en multiples plutôt qu'en simples filets.
Les implications vont au-delà du simple secteur immobilier. Lorsque les taux hypothécaires se comportent, la confiance des consommateurs suit. Quand la demande immobilière explose, cela se répercute sur la construction, les matériaux, l'emploi — toute la chaîne économique réagit. Nous voyons les capitaux revenir dans l'un des secteurs fondamentaux de l'économie, et ce changement est important pour quiconque suit les tendances macroéconomiques et les stratégies d'allocation d'actifs.
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· 12-10 16:52
attends, 6,64 % c'est le chiffre magique ? techniquement parlant c'est fou—littéralement trois ans de gens qui… attendent que les taux cessent d'être nuls lol
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GasFeeLover
· 12-10 16:41
Mon pote, ce chiffre de 6,64 % est-il vraiment si incroyable ? Je pense que c'est juste une attente psychologique, ça aurait dû monter depuis longtemps
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GasGoblin
· 12-10 16:41
Ce rebond du marché immobilier est vraiment attendu, cela fait trois ans les gars... Dès que le chiffre de 6,64 % apparaît, tous les acheteurs se réveillent, la nature humaine est ainsi haha
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TokenVelocity
· 12-10 16:32
Hmm... 6.64% — ce chiffre est-il vraiment un chiffre magique, on dirait qu'il a été un peu marketé
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Attendez, une demande que l'on n'avait pas vue depuis trois ans ? Je ne vois toujours pas les prix de l'immobilier baisser
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Si les taux d'intérêt restent stables, les acheteurs vont foncer, cette barrière psychologique d'attente est vraiment trop facile à franchir
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Le reflux de capitaux vers l'immobilier... ça sonne bien, mais qui osera prendre la dernière étape ?
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Une croissance à deux chiffres, ça fait plaisir à entendre, mais quand il faut vraiment prendre la relève... tant pis
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Combien de temps cette reprise peut-elle durer ? Je parie 5 dollars qu'après trois mois, je vais à nouveau prédire un déclin
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Chaîne d'approvisionnement, emploi, confiance des consommateurs — tout est lié, l'immobilier influence tout le système
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Le moment de faire une bonne affaire est-il arrivé ou s'agit-il encore d'une nouvelle récolte de petits investisseurs ? On regarde ça
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RuntimeError
· 12-10 16:29
Les prix de l'immobilier ont explosé, enfin quelqu'un ose prendre le risque
Attends, cette fois-ci c'est vraiment stable ou encore une grosse chute à l'horizon ?
Ce point de 6.64%, on dirait une embuscade bien préparée...
Trois ans sans mouvement, et voilà qu'ils se réveillent soudainement, c'est vraiment incroyable
De l'argent véritable retourne dans l'immobilier, mais j'ai encore cette sensation que c'est la même vieille méthode pour arnaquer les petits investisseurs
Tant que les taux d'intérêt restent stables, tout ira bien, c'est trop naïf
Mais si cette hausse se retourne, ça va faire mal
Le marché immobilier de décembre a enfin livré quelque chose que nous n'avions pas vu depuis près de trois ans. La demande a explosé à des niveaux qui auraient semblé impossibles il y a seulement quelques mois, et le catalyseur ? Des taux hypothécaires maintenus stables dans cette zone favorable.
Pendant 18 semaines consécutives, les taux sont restés en dessous du seuil de 6,64 %. Ce n'est pas un simple chiffre aléatoire — c'est le point de bascule où les acheteurs se sentent réellement à l'aise pour passer à l'action. Et ils ont effectivement agi. La croissance annuelle a atteint des chiffres à deux chiffres, ce qui indique un élan qui montre que de l'argent réel revient dans l'immobilier.
Ce qui motive cela n'est pas de la science-fiction. Lorsque les coûts d'emprunt se stabilisent en dessous de barrières psychologiques, la demande ne se contente pas de se redresser — elle s'accélère. Les acheteurs qui avaient hésité en attendant « le bon moment » ont soudainement réalisé que ce moment était arrivé. Les améliorations des écarts ont rendu le financement non seulement possible, mais aussi réellement attractif à nouveau.
Ce n'est pas une simple hausse mineure dont nous parlons. Près de trois ans d'attente, de surveillance et d'hésitation ont tout simplement disparu. La machine immobilière, qui s'essoufflait et piétinait, a retrouvé son rythme. Les stocks qui stagnaient ont commencé à bouger. Les offres ont commencé à affluer en multiples plutôt qu'en simples filets.
Les implications vont au-delà du simple secteur immobilier. Lorsque les taux hypothécaires se comportent, la confiance des consommateurs suit. Quand la demande immobilière explose, cela se répercute sur la construction, les matériaux, l'emploi — toute la chaîne économique réagit. Nous voyons les capitaux revenir dans l'un des secteurs fondamentaux de l'économie, et ce changement est important pour quiconque suit les tendances macroéconomiques et les stratégies d'allocation d'actifs.