Les obligations américaines sont toujours massacrées le lundi, et le marché boursier américain a peur du jeudi. Franchement, certains dans le monde des cryptos ont aussi remarqué ce pattern.
En regardant les données historiques depuis 2017, on comprend vite. Le S&P 500 est le seul à perdre le jeudi, avec un rendement moyen négatif. Bitcoin n’y échappe pas non plus, le jeudi étant systématiquement la journée la plus faible sur la semaine. En revanche, l’or et le yen japonais sont beaucoup plus stables, surtout le jeudi, qui voit généralement une hausse constante.
Le schéma des obligations américaines est encore plus intéressant. Lors de l’ouverture du marché le lundi, on constate souvent une pression à la vente — le weekend a peut-être accumulé un paquet d’événements géopolitiques ou de données macroéconomiques, et les institutions préfèrent se retirer pour se couvrir. Arrive le mercredi, et le cycle de règlement du reverse repo de la Fed s’aligne, ce qui rend la liquidité du marché la plus abondante de la semaine, rendant difficile une absence de rebond du marché obligataire.
Et le jeudi devient le point focal.
Ce jour-là, les publications de données américaines s’accumulent — demandeurs d’emploi, PPI, certains chiffres du CPI, sans oublier le compte rendu de la réunion de la Fed, tout sort en un seul jet. Les différentes catégories d’investisseurs en profitent pour réévaluer simultanément les options hebdomadaires et les produits structurés, ce qui ne peut que faire vibrer le marché. La combinaison de l’impact des données et des ajustements de positions fait monter la volatilité en flèche.
En résumé, ce pattern est le résultat d’années d’habitudes de trading façonnées par les traders particuliers, les institutions et les fonds quantitatifs. Avec le temps, ce comportement collectif s’est renforcé pour devenir une “température” du marché.
Donc, vous voyez, les obligations n’aiment pas le lundi, le marché boursier et Bitcoin craignent le jeudi — ce n’est pas qu’une blague. Ce sont les mains invisibles au fond du marché qui bougent, laissant derrière elles des traces de données. Comprendre ce cycle, c’est éviter de trader à l’aveuglette.
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LightningHarvester
· 12-14 04:40
Je vais forcément échouer jeudi, je connais trop bien cette opération haha
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StakeHouseDirector
· 12-13 16:42
Jeudi, il faut encore subir des pertes, cette fois il faut à nouveau fuir...
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staking_gramps
· 12-12 13:48
Jeudi, ça va péter, j'ai déjà gravé ça dans mon ADN, chaque semaine je joue la même pièce.
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PumpDoctrine
· 12-12 13:11
Jeudi est toujours un piège, c'est vraiment incroyable
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ImpermanentLossEnjoyer
· 12-11 11:51
Je savais depuis longtemps que le plongeon du jeudi était prévu, j'attends chaque semaine ce rythme pour acheter en bas de marché.
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0xDreamChaser
· 12-11 11:38
Je vais encore subir une coupure jeudi, je suis vraiment à bout de cette cadence.
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GateUser-00be86fc
· 12-11 11:25
Je dois m’agenouiller jeudi, je l’ai déjà découvert, et je me fais battre à chaque fois
#数字资产生态回暖 Avez-vous remarqué ce phénomène—
Les obligations américaines sont toujours massacrées le lundi, et le marché boursier américain a peur du jeudi. Franchement, certains dans le monde des cryptos ont aussi remarqué ce pattern.
En regardant les données historiques depuis 2017, on comprend vite. Le S&P 500 est le seul à perdre le jeudi, avec un rendement moyen négatif. Bitcoin n’y échappe pas non plus, le jeudi étant systématiquement la journée la plus faible sur la semaine. En revanche, l’or et le yen japonais sont beaucoup plus stables, surtout le jeudi, qui voit généralement une hausse constante.
Le schéma des obligations américaines est encore plus intéressant. Lors de l’ouverture du marché le lundi, on constate souvent une pression à la vente — le weekend a peut-être accumulé un paquet d’événements géopolitiques ou de données macroéconomiques, et les institutions préfèrent se retirer pour se couvrir. Arrive le mercredi, et le cycle de règlement du reverse repo de la Fed s’aligne, ce qui rend la liquidité du marché la plus abondante de la semaine, rendant difficile une absence de rebond du marché obligataire.
Et le jeudi devient le point focal.
Ce jour-là, les publications de données américaines s’accumulent — demandeurs d’emploi, PPI, certains chiffres du CPI, sans oublier le compte rendu de la réunion de la Fed, tout sort en un seul jet. Les différentes catégories d’investisseurs en profitent pour réévaluer simultanément les options hebdomadaires et les produits structurés, ce qui ne peut que faire vibrer le marché. La combinaison de l’impact des données et des ajustements de positions fait monter la volatilité en flèche.
En résumé, ce pattern est le résultat d’années d’habitudes de trading façonnées par les traders particuliers, les institutions et les fonds quantitatifs. Avec le temps, ce comportement collectif s’est renforcé pour devenir une “température” du marché.
Donc, vous voyez, les obligations n’aiment pas le lundi, le marché boursier et Bitcoin craignent le jeudi — ce n’est pas qu’une blague. Ce sont les mains invisibles au fond du marché qui bougent, laissant derrière elles des traces de données. Comprendre ce cycle, c’est éviter de trader à l’aveuglette.