La baisse du pétrole brésilien de novembre ? Fermetures temporaires d'installations, pas le début de la fin.
Toute l'histoire selon laquelle « l'Amérique du Sud va sauver l'approvisionnement en pétrole » me paraît exagérée.
Le Guyana est la véritable affaire — pourrait atteindre 1,2 million de barils par jour. Trajectoire de croissance solide là-bas.
Le Brésil pourrait sortir 300 000 barils supplémentaires par jour. Sympa, mais loin d'être révolutionnaire.
L'Argentine ? Réserves massives, c'est sûr. Mais c'est l'Argentine dont on parle. Chaos politique, drama monétaire, problèmes d'infrastructure — vous connaissez la chanson. Le potentiel ne signifie rien sans exécution.
Les marchés continuent d'intégrer ce boom sud-américain comme s'il était garanti. Je n'y crois pas. Un bon performer, un modeste gain, et un gros point d'interrogation ne font pas une révolution de l'offre.
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La baisse du pétrole brésilien de novembre ? Fermetures temporaires d'installations, pas le début de la fin.
Toute l'histoire selon laquelle « l'Amérique du Sud va sauver l'approvisionnement en pétrole » me paraît exagérée.
Le Guyana est la véritable affaire — pourrait atteindre 1,2 million de barils par jour. Trajectoire de croissance solide là-bas.
Le Brésil pourrait sortir 300 000 barils supplémentaires par jour. Sympa, mais loin d'être révolutionnaire.
L'Argentine ? Réserves massives, c'est sûr. Mais c'est l'Argentine dont on parle. Chaos politique, drama monétaire, problèmes d'infrastructure — vous connaissez la chanson. Le potentiel ne signifie rien sans exécution.
Les marchés continuent d'intégrer ce boom sud-américain comme s'il était garanti. Je n'y crois pas. Un bon performer, un modeste gain, et un gros point d'interrogation ne font pas une révolution de l'offre.