Après avoir réfléchi à cette série d’actions officielles des Émirats Arabes Unis, je suis de plus en plus convaincu que le signal le plus important de cette année a été gravement sous-estimé.
Ce n’est pas simplement une question de « un autre pays qui montre ses intentions ». Regardez ces trois actions concrètes : l’UAE annonce officiellement que le Bitcoin devient un pilier stratégique financier, l’intégration officielle dans la réserve nationale, la détention de 6333 BTC, Mubadala renforçant ses positions avec 5 milliards de dollars via IBIT, et Dubaï acceptant officiellement le paiement en Bitcoin à partir du 5 décembre — ces trois faits, mis ensemble, ne sont pas un simple terrain d’expérimentation, c’est une mise sur la table des enjeux.
En clair, le jeu de l’adoption à l’échelle souveraine a complètement changé ses règles.
Vous vous souvenez de l’épisode du Salvador en 2021 ? À l’époque, c’était comme un héros solitaire. Et maintenant ? En 2025, cela devient une action collective : le Pakistan utilise son électricité inutilisée pour le minage, la VTB en Russie lance des échanges cryptographiques, le Congrès brésilien propose d’allouer 5 % des réserves de change en Bitcoin… L’action des Émirats, qui injecte directement la richesse pétrolière du Moyen-Orient, envoie un signal clair aux autres. Si un pays comme l’Arabie Saoudite, le Qatar ou Singapour suit le mouvement, dépasser les 100 000 dollars par Bitcoin ne sera plus une grande nouvelle, mais la nouvelle ligne de référence.
Comment voir cela à court terme ? Très clairement. La semaine prochaine, il est très probable que les ETF Bitcoin réinvestissent 3 à 5 milliards de dollars, et que des produits à effet de levier 2x (comme BITX, BITO) montent de 20-30 % pour attirer les petits investisseurs, avant une nouvelle phase de correction violente. À court terme, l’or et l’argent seront déviés.
Je suis conscient des risques. Si la Réserve fédérale adopte une position hawkish plus que prévu lors de sa déclaration du 18 décembre, ou si de nouveaux troubles surgissent au Moyen-Orient, le Bitcoin pourrait encore chuter à 80-85K, c’est mon dernier point d’entrée. Les 15 % de liquidités que je conserve ont cette finalité.
Mais à long terme, ma conviction n’a jamais été aussi forte : le Bitcoin est en train de se transformer de « or numérique » en « pétrole numérique ». La stratégie des Émirats aujourd’hui envoie un message clair au monde : dans la prochaine compétition monétaire nationale, celui qui parviendra à intégrer le Bitcoin dans ses réserves aura simultanément le contrôle de l’énergie et de la finance.
Dernière phrase : ce n’est pas le 13e mois du marché haussier, mais le premier mois d’un nouvel ordre.
Le plan initial de déployer la configuration Bitcoin d’ici 2026 a été avancé, tout est en place ce mois-ci. Je ne veux plus manquer aucune fenêtre d’entrée souveraine.
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LiquidityOracle
· 12-12 08:51
Putain, cette vague aux Émirats arabes unis est vraiment incroyable... le niveau souverain, c'est pas la même chose quand on entre directement en tant que souverain
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BearMarketLightning
· 12-12 08:46
Je vois cette logique, il y a effectivement quelque chose. Mais pour être honnête, je suis plus préoccupé par le moment où l'Arabie Saoudite va réellement suivre, c'est là que se trouve le vrai point de rupture.
Après avoir réfléchi à cette série d’actions officielles des Émirats Arabes Unis, je suis de plus en plus convaincu que le signal le plus important de cette année a été gravement sous-estimé.
Ce n’est pas simplement une question de « un autre pays qui montre ses intentions ». Regardez ces trois actions concrètes : l’UAE annonce officiellement que le Bitcoin devient un pilier stratégique financier, l’intégration officielle dans la réserve nationale, la détention de 6333 BTC, Mubadala renforçant ses positions avec 5 milliards de dollars via IBIT, et Dubaï acceptant officiellement le paiement en Bitcoin à partir du 5 décembre — ces trois faits, mis ensemble, ne sont pas un simple terrain d’expérimentation, c’est une mise sur la table des enjeux.
En clair, le jeu de l’adoption à l’échelle souveraine a complètement changé ses règles.
Vous vous souvenez de l’épisode du Salvador en 2021 ? À l’époque, c’était comme un héros solitaire. Et maintenant ? En 2025, cela devient une action collective : le Pakistan utilise son électricité inutilisée pour le minage, la VTB en Russie lance des échanges cryptographiques, le Congrès brésilien propose d’allouer 5 % des réserves de change en Bitcoin… L’action des Émirats, qui injecte directement la richesse pétrolière du Moyen-Orient, envoie un signal clair aux autres. Si un pays comme l’Arabie Saoudite, le Qatar ou Singapour suit le mouvement, dépasser les 100 000 dollars par Bitcoin ne sera plus une grande nouvelle, mais la nouvelle ligne de référence.
Comment voir cela à court terme ? Très clairement. La semaine prochaine, il est très probable que les ETF Bitcoin réinvestissent 3 à 5 milliards de dollars, et que des produits à effet de levier 2x (comme BITX, BITO) montent de 20-30 % pour attirer les petits investisseurs, avant une nouvelle phase de correction violente. À court terme, l’or et l’argent seront déviés.
Je suis conscient des risques. Si la Réserve fédérale adopte une position hawkish plus que prévu lors de sa déclaration du 18 décembre, ou si de nouveaux troubles surgissent au Moyen-Orient, le Bitcoin pourrait encore chuter à 80-85K, c’est mon dernier point d’entrée. Les 15 % de liquidités que je conserve ont cette finalité.
Mais à long terme, ma conviction n’a jamais été aussi forte : le Bitcoin est en train de se transformer de « or numérique » en « pétrole numérique ». La stratégie des Émirats aujourd’hui envoie un message clair au monde : dans la prochaine compétition monétaire nationale, celui qui parviendra à intégrer le Bitcoin dans ses réserves aura simultanément le contrôle de l’énergie et de la finance.
Dernière phrase : ce n’est pas le 13e mois du marché haussier, mais le premier mois d’un nouvel ordre.
Le plan initial de déployer la configuration Bitcoin d’ici 2026 a été avancé, tout est en place ce mois-ci. Je ne veux plus manquer aucune fenêtre d’entrée souveraine.