En trois jours, le compte est passé de 58 000 U à 320 000 U. Ce processus semble simple en le racontant, mais en le vivant réellement, c’est une autre histoire.

Le 10, j’ai ouvert une position longue sur BEAT à 1.147. Au début, je ne pensais pas trop, je voulais juste tester. Résultat, le marché a continué à monter, atteignant directement 1.827, je suis sorti, avec 80 000 U en poche, je n’avais même pas encore réalisé. Le lendemain, à 1.648, je suis entré à nouveau, cette fois c’était encore plus fort, le prix a grimpé jusqu’à 2.051 avant que je ne sorte, avec 130 000 U de plus. Après deux mouvements, la sensation de doubler le compte me faisait planer, comme si tout était sous contrôle.

Mais le marché m’a rapidement rappelé à l’ordre. À 2.034, j’ai décidé de prendre une position courte, en surveillant les chandeliers qui oscillaient sans cesse, jusqu’à ce qu’une grosse bougie baissière tombe, ramenant le prix à 1.297, avec un gain supplémentaire de 52 000 U. À ce moment-là, mon cœur battait comme si on m’avait injecté de l’adrénaline.

Une nouvelle structure est en train de se former, la prochaine vague pourrait être encore plus forte, mais je sais très bien que ce n’est pas une mentalité de gambler. L’essentiel est de maîtriser le rythme, de calculer les probabilités, et de garder la rationalité dans la folie du marché. Les opportunités que le marché donne sont mortes, c’est à nous de les transformer en profit, la chance n’est qu’un accompagnement.