Continuer sur ce sujet. À vrai dire, les discussions actuelles sur APRO ne concernent plus vraiment si le "projet est fiable ou non". La question plus profonde est : APRO peut-il passer du stade d'"accepté par le marché" à celui d'"outil systémique indispensable" ?
Ce saut est souvent plus difficile à franchir pour un projet d'infrastructure que de partir de zéro à un.
**Être accepté et être considéré comme la norme, c'est un monde à part**
Honnêtement, APRO est actuellement dans un état "accepté". La direction technologique, le choix des secteurs, la trajectoire de développement sont désormais dans le champ des discussions mainstream. Il n’est plus nécessaire d’expliquer ce que l’on fait, ni d’être rapidement dénigré comme un projet qui surfait sur la vague.
Mais il y a une différence cruciale — être accepté n’est qu’une porte ouverte, vous donnant le droit d’entrer. La véritable normalisation, c’est quand le système ne peut plus fonctionner sans vous. La différence est immense.
**L’inertie décisionnelle est la véritable barrière**
Comment juger si un projet d’infrastructure peut survivre ? Ce n’est pas en regardant une collaboration spécifique ou la fluctuation du prix du token, mais en observant quelque chose de plus subtil : sa capacité à s’intégrer dans les décisions quotidiennes des développeurs et des concepteurs de protocoles.
Ce qu’on appelle l’inertie décisionnelle, c’est simple : lorsque l’équipe discute de la façon de construire le système, APRO n’est plus une "option", mais un "postulat de base".
Actuellement, on se demande encore "Faut-il utiliser APRO ?" ; une fois que ce sera intégré, cela deviendra "En supposant qu’on utilise APRO, comment concevoir ?" Quand le système doit être mis à jour, ce ne sera plus une question de "changer ou pas APRO", mais de réfléchir directement à des solutions d’itération dans le cadre d’APRO.
Une fois cette habitude prise, c’est là que réside la véritable barrière.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
12 J'aime
Récompense
12
3
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
ShibaMillionairen't
· Il y a 5h
En résumé, il s'agit de savoir si cela peut devenir une "nécessité" plutôt qu'une "option". Cette transition est plus difficile que d'atteindre la trending list.
Voir l'originalRépondre0
DogeBachelor
· Il y a 5h
Cette logique a du sens, passer d'être accepté à être considéré comme la norme est vraiment une autre étape. On pourrait comparer cela à une transformation d'« outil intéressant » à « ligne de vie ».
Voir l'originalRépondre0
SchrodingerWallet
· Il y a 6h
Écoutez, il est vrai que l'inertie décisionnelle est un point, mais je reste un peu sceptique. APRO doit vraiment devenir la norme, mais ce n'est pas encore le cas.
Continuer sur ce sujet. À vrai dire, les discussions actuelles sur APRO ne concernent plus vraiment si le "projet est fiable ou non". La question plus profonde est : APRO peut-il passer du stade d'"accepté par le marché" à celui d'"outil systémique indispensable" ?
Ce saut est souvent plus difficile à franchir pour un projet d'infrastructure que de partir de zéro à un.
**Être accepté et être considéré comme la norme, c'est un monde à part**
Honnêtement, APRO est actuellement dans un état "accepté". La direction technologique, le choix des secteurs, la trajectoire de développement sont désormais dans le champ des discussions mainstream. Il n’est plus nécessaire d’expliquer ce que l’on fait, ni d’être rapidement dénigré comme un projet qui surfait sur la vague.
Mais il y a une différence cruciale — être accepté n’est qu’une porte ouverte, vous donnant le droit d’entrer. La véritable normalisation, c’est quand le système ne peut plus fonctionner sans vous. La différence est immense.
**L’inertie décisionnelle est la véritable barrière**
Comment juger si un projet d’infrastructure peut survivre ? Ce n’est pas en regardant une collaboration spécifique ou la fluctuation du prix du token, mais en observant quelque chose de plus subtil : sa capacité à s’intégrer dans les décisions quotidiennes des développeurs et des concepteurs de protocoles.
Ce qu’on appelle l’inertie décisionnelle, c’est simple : lorsque l’équipe discute de la façon de construire le système, APRO n’est plus une "option", mais un "postulat de base".
Actuellement, on se demande encore "Faut-il utiliser APRO ?" ; une fois que ce sera intégré, cela deviendra "En supposant qu’on utilise APRO, comment concevoir ?" Quand le système doit être mis à jour, ce ne sera plus une question de "changer ou pas APRO", mais de réfléchir directement à des solutions d’itération dans le cadre d’APRO.
Une fois cette habitude prise, c’est là que réside la véritable barrière.