Salesforce est confronté à un recours collectif devant le tribunal fédéral de San Francisco, accusé d'avoir construit des modèles d'IA XGen basés sur des bibliothèques de livres enfreignant le droit d'auteur. Deux auteurs, E. Molly Tanzer et Jennifer Gilmore, soutiennent que Salesforce a utilisé des centaines de milliers de livres à partir des ensembles de données RedPajama et The Pile, y compris Books3 — un ensemble de plus de 196.000 livres copiés de Bibliotik.
Au départ, Salesforce a publiquement répertorié “RedPajama-Books” comme source d'entraînement, mais a ensuite supprimé et remplacé par la description “source de données linguistiques publiques.” La plainte accuse également la société de continuer à violer en commercialisant la technologie via la plateforme Agentforce AI et le modèle XGen-Sales.
Les experts juridiques estiment que le plaignant doit prouver un préjudice financier réel, mais si Salesforce choisit délibérément d'ignorer la violation, le tribunal peut tout de même conclure à une atteinte intentionnelle.
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Salesforce fait face à un recours collectif pour des allégations de données d'entraînement AI illégales
Salesforce est confronté à un recours collectif devant le tribunal fédéral de San Francisco, accusé d'avoir construit des modèles d'IA XGen basés sur des bibliothèques de livres enfreignant le droit d'auteur. Deux auteurs, E. Molly Tanzer et Jennifer Gilmore, soutiennent que Salesforce a utilisé des centaines de milliers de livres à partir des ensembles de données RedPajama et The Pile, y compris Books3 — un ensemble de plus de 196.000 livres copiés de Bibliotik.
Au départ, Salesforce a publiquement répertorié “RedPajama-Books” comme source d'entraînement, mais a ensuite supprimé et remplacé par la description “source de données linguistiques publiques.” La plainte accuse également la société de continuer à violer en commercialisant la technologie via la plateforme Agentforce AI et le modèle XGen-Sales.
Les experts juridiques estiment que le plaignant doit prouver un préjudice financier réel, mais si Salesforce choisit délibérément d'ignorer la violation, le tribunal peut tout de même conclure à une atteinte intentionnelle.