Jin10, le 18 octobre. Le 17 octobre, heure locale, le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a exprimé par l'intermédiaire de son porte-parole, Stéphane Dujarric, sa profonde préoccupation concernant les accusations publiques continues des Houthis du Yémen à l'encontre du personnel des Nations Unies, et a fermement rejeté les déclarations faites par la direction houthie le 16 octobre. Ce jour-là, le leader houthi Abdel-Malik al-Houthi a affirmé que les Houthis avaient récemment arrêté plusieurs employés d'agences des Nations Unies parce que ces derniers seraient engagés dans des activités d'espionnage pour le compte des États-Unis, d'Israël et du Royaume-Uni, accusés de fournir des renseignements, des coordonnées et de planifier des actions de sabotage. Le porte-parole a déclaré que le secrétaire général rejetait catégoriquement toutes ces accusations et exprimait son soutien indéfectible aux travailleurs des Nations Unies qui se trouvent en première ligne au Yémen et dans le monde entier. La déclaration a souligné que de telles accusations sans fondement sont dangereuses et inacceptables, menaçant gravement la sécurité du personnel des Nations Unies et des travailleurs humanitaires, et nuisant aux opérations d'aide humanitaire visant à sauver des vies.
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Guterres rejette les accusations des Houthis : une menace grave pour la sécurité du personnel des Nations Unies
Jin10, le 18 octobre. Le 17 octobre, heure locale, le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a exprimé par l'intermédiaire de son porte-parole, Stéphane Dujarric, sa profonde préoccupation concernant les accusations publiques continues des Houthis du Yémen à l'encontre du personnel des Nations Unies, et a fermement rejeté les déclarations faites par la direction houthie le 16 octobre. Ce jour-là, le leader houthi Abdel-Malik al-Houthi a affirmé que les Houthis avaient récemment arrêté plusieurs employés d'agences des Nations Unies parce que ces derniers seraient engagés dans des activités d'espionnage pour le compte des États-Unis, d'Israël et du Royaume-Uni, accusés de fournir des renseignements, des coordonnées et de planifier des actions de sabotage. Le porte-parole a déclaré que le secrétaire général rejetait catégoriquement toutes ces accusations et exprimait son soutien indéfectible aux travailleurs des Nations Unies qui se trouvent en première ligne au Yémen et dans le monde entier. La déclaration a souligné que de telles accusations sans fondement sont dangereuses et inacceptables, menaçant gravement la sécurité du personnel des Nations Unies et des travailleurs humanitaires, et nuisant aux opérations d'aide humanitaire visant à sauver des vies.