Elon Musk est entré en conflit ouvert avec l’Union européenne après que Bruxelles a infligé à sa plateforme X une amende stupéfiante de 120 millions de livres sterling ($140 million)—la première sanction majeure au titre du strict Digital Services Act (DSA) du bloc. L’amende a immédiatement déclenché une réaction politique des responsables américains, intensifiant encore les tensions entre l’Europe et Washington sur la souveraineté numérique et la régulation des géants technologiques américains.
Répression historique de l’UE contre X de Musk
L’enquête de deux ans menée par la Commission européenne a révélé que X (anciennement Twitter) avait enfreint plusieurs principes fondamentaux du DSA, notamment :
🔹 Le système de badge bleu payant, que les régulateurs estiment trompeur pour les utilisateurs et facilitant l’usurpation d’identité
🔹 Un manque de transparence dans sa bibliothèque publicitaire, rendant difficile l’examen du contenu sponsorisé
🔹 Le blocage des chercheurs indépendants dans l’accès aux données publiques de la plateforme
X devient ainsi la première entreprise à recevoir une notification officielle de non-conformité en vertu de la réglementation numérique de 2022. L’amende est répartie comme suit :
45 millions de livres pour le système de vérification trompeur
35 millions de livres pour des pratiques publicitaires non transparentes
40 millions de livres pour la restriction de l’accès à la recherche
L’entreprise de Musk dispose désormais de 60 à 90 jours pour se conformer ou risquer de nouvelles sanctions. La Commission a souligné que cette application n’était pas politiquement motivée, mais résultait de violations réglementaires claires.
Les responsables américains fustigent l’UE
La décision n’est pas passée inaperçue à Washington. Le secrétaire d’État Marco Rubio l’a dénoncée comme une attaque directe contre les entreprises technologiques américaines, tandis que le vice-président JD Vance a accusé l’UE de sanctionner X pour « ne pas participer à la censure ».
Musk, fidèle à lui-même, a réagi sans détour : « C’est des conneries. » Le lendemain, il a surenchéri, déclarant :
« L’UE devrait être démantelée. La souveraineté doit revenir aux nations qui représentent leur propre peuple. »
Le ministère américain du Commerce s’est également exprimé. Le secrétaire Howard Lutnick a affirmé que l’excès d’intervention numérique de l’UE pourrait compromettre les négociations commerciales plus larges, y compris sur les taxes sur l’acier et l’aluminium.
L’UE défend une action neutre
Les responsables européens ont répliqué. Le porte-parole de la Commission, Thomas Regnier, a précisé que les amendes n’étaient pas fondées sur la nationalité et a cité la collaboration constructive de TikTok comme exemple d’évitement des sanctions.
« Quand les plateformes s’engagent et coopèrent avec nous, les amendes ne sont pas nécessaires. Ce n’était pas le cas avec X », a déclaré Regnier.
L’UE a récemment renforcé l’application de la loi sur les plateformes technologiques. Meta a été condamnée à une amende de 200 millions de livres plus tôt cette année pour son modèle publicitaire « payer ou consentir ».
Quels sont les enjeux ?
Le défi croissant de Musk met en évidence une fracture profonde entre les leaders technologiques américains et les régulateurs européens. Ce qui est en jeu ne se résume pas à de l’argent—mais à l’avenir de la liberté d’expression en ligne, à la responsabilité des plateformes et à la gouvernance technologique mondiale.
Si X ne se conforme pas, l’UE pourrait imposer d’autres amendes périodiques ou, en dernier recours, restreindre l’activité de la plateforme sur son territoire. Pendant ce temps, les responsables américains laissent entrevoir des mesures de rétorsion potentielles—ouvrant la voie à un affrontement numérique à enjeux élevés entre Bruxelles et Washington.
#ElonMusk , #technews , #AI , #X , #Musk
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Avis :
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Musk riposte alors que l’UE inflige à X une amende record dans un affrontement sur la régulation technologique
Elon Musk est entré en conflit ouvert avec l’Union européenne après que Bruxelles a infligé à sa plateforme X une amende stupéfiante de 120 millions de livres sterling ($140 million)—la première sanction majeure au titre du strict Digital Services Act (DSA) du bloc. L’amende a immédiatement déclenché une réaction politique des responsables américains, intensifiant encore les tensions entre l’Europe et Washington sur la souveraineté numérique et la régulation des géants technologiques américains.
Répression historique de l’UE contre X de Musk L’enquête de deux ans menée par la Commission européenne a révélé que X (anciennement Twitter) avait enfreint plusieurs principes fondamentaux du DSA, notamment : 🔹 Le système de badge bleu payant, que les régulateurs estiment trompeur pour les utilisateurs et facilitant l’usurpation d’identité
🔹 Un manque de transparence dans sa bibliothèque publicitaire, rendant difficile l’examen du contenu sponsorisé
🔹 Le blocage des chercheurs indépendants dans l’accès aux données publiques de la plateforme X devient ainsi la première entreprise à recevoir une notification officielle de non-conformité en vertu de la réglementation numérique de 2022. L’amende est répartie comme suit : 45 millions de livres pour le système de vérification trompeur 35 millions de livres pour des pratiques publicitaires non transparentes 40 millions de livres pour la restriction de l’accès à la recherche L’entreprise de Musk dispose désormais de 60 à 90 jours pour se conformer ou risquer de nouvelles sanctions. La Commission a souligné que cette application n’était pas politiquement motivée, mais résultait de violations réglementaires claires.
Les responsables américains fustigent l’UE La décision n’est pas passée inaperçue à Washington. Le secrétaire d’État Marco Rubio l’a dénoncée comme une attaque directe contre les entreprises technologiques américaines, tandis que le vice-président JD Vance a accusé l’UE de sanctionner X pour « ne pas participer à la censure ». Musk, fidèle à lui-même, a réagi sans détour : « C’est des conneries. » Le lendemain, il a surenchéri, déclarant : « L’UE devrait être démantelée. La souveraineté doit revenir aux nations qui représentent leur propre peuple. » Le ministère américain du Commerce s’est également exprimé. Le secrétaire Howard Lutnick a affirmé que l’excès d’intervention numérique de l’UE pourrait compromettre les négociations commerciales plus larges, y compris sur les taxes sur l’acier et l’aluminium.
L’UE défend une action neutre Les responsables européens ont répliqué. Le porte-parole de la Commission, Thomas Regnier, a précisé que les amendes n’étaient pas fondées sur la nationalité et a cité la collaboration constructive de TikTok comme exemple d’évitement des sanctions. « Quand les plateformes s’engagent et coopèrent avec nous, les amendes ne sont pas nécessaires. Ce n’était pas le cas avec X », a déclaré Regnier. L’UE a récemment renforcé l’application de la loi sur les plateformes technologiques. Meta a été condamnée à une amende de 200 millions de livres plus tôt cette année pour son modèle publicitaire « payer ou consentir ».
Quels sont les enjeux ? Le défi croissant de Musk met en évidence une fracture profonde entre les leaders technologiques américains et les régulateurs européens. Ce qui est en jeu ne se résume pas à de l’argent—mais à l’avenir de la liberté d’expression en ligne, à la responsabilité des plateformes et à la gouvernance technologique mondiale. Si X ne se conforme pas, l’UE pourrait imposer d’autres amendes périodiques ou, en dernier recours, restreindre l’activité de la plateforme sur son territoire. Pendant ce temps, les responsables américains laissent entrevoir des mesures de rétorsion potentielles—ouvrant la voie à un affrontement numérique à enjeux élevés entre Bruxelles et Washington.
#ElonMusk , #technews , #AI , #X , #Musk
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