Les mineurs perdent confiance dans l'évolutivité du BTC et cherchent à associer leur destin à celui du BCH pour protéger leur capital. La hausse actuelle des prix pourrait marquer la fin de la domination du BTC.

L'essai explore si la fonction principale des cryptomonnaies, en particulier le Bitcoin, est de contourner la régulation, les systèmes bancaires, les impôts et l'inflation discrétionnaire, en présentant les points de vue du philosophe Sebastián Ortiz.

L'essai examine si Bitcoin sert principalement à échapper à la surveillance fiscale et aux banques centralisées, en lien sa philosophie avec l'agorisme et l'anarcho-capitalisme. Il souligne que, bien que certains considèrent les cryptomonnaies comme une forme de résistance économique, elles favorisent également l'inclusion financière et des modèles économiques innovants.

Marcelo Fleischer s'est engagé avec les maximalistes du BTC lors de la LABITCONF, remettant en question leurs croyances lors du panel "Los Herederos de Alberdi". Ses arguments ont suscité des débats et diverses réactions parmi les participants.

L'essai souligne que, malgré les occasions manquées dans l'investissement en cryptomonnaie, il est essentiel de se concentrer sur l'évolution continue de la monnaie numérique. Il encourage à apprendre et à participer à ce processus de transformation, plutôt que de se lamenter sur les regrets passés.

Les mineurs de BTC sont confrontés à une déception en raison du manque de scalabilité, ce qui les pousse à envisager le BCH comme option pour préserver la valeur de leur capital. On se demande s'il s'agit d'une augmentation temporaire ou du début du déclin de la domination du BTC.

L’essai aborde le débat en cours sur le marché concernant le BTC et le BCH, s’interrogeant sur la durée de la confusion du marché et sur la question de savoir si le récit ou l’utilité l’emportera. Il se demande également si le BTC risque de devenir obsolète comme MySpace.